
Les origines de trajectoires RSE Pro
Qui a développé Trajectoires RSE pro ?
Trajectoires RSE pro est le résultat d’une synergie de réflexions, d’idées et de travaux communs.
Ce projet collaboratif a nécessité de nombreuses heures de travail dédiées, reflétant un engagement profond de tous les membres du groupe. Juste en dessous, vous trouverez les membres de l’équipe qui ont contribué avec ferveur à la création de Trajectoires RSE pro.
La richesse des profils variés au sein de l’équipe a été un atout majeur, permettant de construire une démarche adaptée à la pluralité des besoins du marché professionnel. Trajectoires RSE pro c’est avant tout une réalisation collective, imprégnée de diverses compétences et d’une énergie partagée.
Comment la démarche a-t-elle été construite ?
La construction de la démarche Trajectoires RSE pro s’est déroulée en 6 grandes étapes :
Quelques idées reçues autour de la RSE.
FAUX !
Même si les entreprises de plus de 500 salariés ont l’obligation légale de publier leur Déclaration de Performance Extrafinancière ou DPEF (à partir de 2024, la Corporate Sustainability Reporting Directive obligera les entreprises remplissant au moins 2 des 3 critères suivants à publier leur rapport de durabilité : avoir plus de 250 salariés, un bilan supérieur à 20 millions d’euros, un chiffre d’affaires supérieur à 40 millions d’euros), la RSE concerne l’ensemble des entreprises. En effet, toute entreprise, quelle qu’elle soit, émet des impacts (économiques, sociaux, sociétaux & environnementaux) et a la responsabilité d’y répondre. Les TPE/PME représentent 99% des entreprises en France, elles ont donc un rôle plus que majeur à jouer dans la transition des modèles économiques.
FAUX !
Pour certains, la RSE se résume à la prise en compte des enjeux environnementaux. En réalité l’environnement ne couvre qu’une partie de la RSE, les trois autres piliers étant l’économique, le social et le sociétal. Chacun de ces quatre piliers sont intimement liés et indissociables les uns des autres pour garantir une performance globale équilibrée. Par exemple, la performance économique dépend de la capacité de l’entreprise à attirer et à fidéliser des talents (performance sociale), à répondre aux attentes de ses consommateurs (performance sociétale) et à adapter son modèle face à la raréfaction des ressources (performance environnementale).
VRAI ET FAUX !
Bien sûr, déployer une démarche RSE vous demande de l’engagement et de l’implication, mais vous en tirez de nombreux bénéfices. La RSE est un investissement stratégique, qui à long terme, se traduit par des gains significatifs en matière d’efficacité et d’innovation. En intégrant la RSE à l’ADN même d’une structure, on stimule l’innovation, favorisant l’émergence de solutions différencientes et la création de nouvelles opportunités. De plus, la RSE agit comme une mesure d’anticipation, garantissant la continuité des activités vis-à-vis des défis futurs. Devancer les attentes clients, les requêtes fournisseurs ou encore les exigences réglementaires, positionne la structure comme un précurseur gagnant ainsi du temps dans la réponse aux demandes du marché et assurant une conformité proactive. La RSE est un levier tactique d’anticipation et d’efficacité à long terme.
FAUX !
Mettre en place une démarche RSE n’est pas qu’une question d’image, c’est avant tout une question de stratégie d’entreprise. Pour être efficace, la RSE doit être pensée en tant que stratégie à part entière à partir de laquelle découlera un plan d’action. Pour communiquer efficacement sur vos actions RSE, il faut impérativement que celles-ci soient réelles et vérifiables. A contrario, dès lors que certaines de vos actions ne sont pas conformes aux attentes de vos parties prenantes, il est nécessaire d’être transparent et redevable. L’entreprise se doit d’expliquer et d’assumer les raisons de ses écarts, s’il y en a.
FAUX !
La RSE et les éventuels coûts qui y sont associés ne sont pas un frein à la performance économique car la RSE intègre parfaitement le besoin de productivité et de rentabilité des entreprises. La RSE ne s’oppose pas à la performance économique, elle cherche à adapter la structure face aux enjeux environnementaux et sociaux, pour rechercher une performance globale sur le long terme. Dès 2016, France Stratégie montrait d’ailleurs que les entreprises mettant en place une politique RSE sont en moyenne 13% plus performantes* que les autres. En effet, une action RSE peut avoir 4 types d’impacts : réduction des coûts, hausse du chiffre d’affaires, réduction des risques, hausse de la productivité.
* : Ici, on définit la performance économique comme la moyenne du profit, de l’excédent brut d’exploitation et de la valeur ajoutée.
Les avantages de la RSE.
La mise en place d’une stratégie RSE adaptée aux spécificités des entités, permet non seulement de renforcer leur impact positif sur la société et sur l’environnement, mais aussi d’améliorer la performance économique à long terme.